Il pleut il pleut bergère...

En avant les moutons...

Il pleut il pleut ça mouille...

C'est la fête à la grenouile...

La vie est injuste parfois...

Pourquoiiiiiiiii???

Pourquoi on dit pourquoi et pourquoi on se pose des questions?

hum hum...

Je sais pas si je l'avais déjà raconté dans l'autre blog, mais j'ai envie de le redire au cas ou^^ c'est la-pitite-mimie qui m'a redonné l'envie d'en parler, et surtout qui m'y a fait repenser... merci^^

Cet été je suis partie une semaine à Menton, en côte d'Azur, a Castellar plus précisément, un petit village sur une montagne, a une dizaine de km de Menton... Il s'est passé quelque chose de banal mais de tellemnent magique à mes yeux... 

Un matin, on descend au parking avec ma fammille pour aller se ballader en voiture et sur le côté de la descente, se trouvait une maison en réparation et donc des travailleurs, dant un charmant jeune homme... En passant, nos regards se sont croisés, sans me laisser indifferrente à son charme. Une fois dans la voiture, on repasse devant lui et à nouveau je le vois qui me regarde et me sourit à travers la vitre ouverte. J'y ai pensé toute la journée. Puis le lendeain je le retrouve au même endroit, toujours me souriant... Les jours se suivent et c'est la même chose, ces moments hantent mon esprit. Puis une apré midi, en revenant de la mer, je le vois assis à la petite terrase du café, juste en face où on habitait, dans la petite rue. Baume au ceur, il me sourit et je lui rend son sourire. Je n'en parle à personne, je le garde pour moi... Un soir, en me promenant, je le vois dans cette même rue qui discute avec des amis... Mais je ne lui parle pas... Je n'ose pas... Pourtant la semaine se termine et vient l'heure de partir. Nostalgique, j'en parle à mon frère, qui se fou de moi, on installe les bagages dans la voiture, et l'on remonte chercher quelques affaires de la plage pour  aller se baigner avent de partir définitivement... Moi qui croyais ne plus le revoir, je le vois qui arrive dans cette rue, avec un homme et l'homme nous parle du temps qui se couvrait et qui fallait nous dépécher pour se baigner, sans qu'ils sachent qu'on partait juste après. Lui me regarde en souriant, mais moi qui n'avait pas compris que l'homme ma parlait à moi et non à mes parents spécialement, et l'esprit trop occupé par le jeune homme, je n'ai rien dit. C'est la dernière fois que je l'ai vu... Chemin du retour, nostalgie de cette semaine...

Je sais que ce qu'il s'est passé n'a rien d'exceptonnel, et qu'autant lui, ne s'en souvient même plus, ou ne s'interessait pas plus que ça à moi, mais le regard et le sourire, sont 2 choses très importantes pour moi, alors ces moments sont gravés en moi et je les toruves magiques, même plus beau que d'autres moments d'amour vécues... Je suis trop sentimentale, trop sensible, voilà ce qui me perd... Enfin, on peut trouver que je suis idiote, mais je n'oublirai pas ces instant de bonheur...

Marguerite

Surtout ne m'en voulez pas trop

Si ce soir je rentre chez moi,

J'ai tellement de chose à faire

Avant que le jour se lève.

Et pendant qu'elle dormira,

Moi, je lui construirai des rêves

Pour que plus jamais au réveil

Elle ne se lève les yeux en plaurs.

Et pour que cette longue nuit

Ne soit plus jamais noire et profonde,

Je demanderai à la lune

De remplir le ciel toute entièr.

Et pour que je puisse encore la voir,

Me sourire comme avant,

je demanderai au soleil

De bruler même en plein hiver.

Et pour qu'elle puisse encore chanter

Les chansons de notre bohème,

Je construirai un silence

Plus grand que ceux des cathédrales.

J'irai réveiller les amants,

Je parlerai des heures entières

Et je sais qu'ils me suivront

Tant que nous resteront amants.

Alors on se promènera,

Tout ensemble on dansera

D'incroyables sarrabandes

Et elle oubliera sa peine

Et pour que la ville danse

Et pour que la ville chante,

On inventera des couleurs

Et elle oublira ses larmes.

Nous irons dans les campagnes

Pour cueillir les fleurs des champs,

Pour en faire un grand lit blanc

Où l'on s'aime tendrement.

Et puis nous irons au fond du ciel

Pour lui choisir une étoile,

Parce que Marguerite est bonne,

Parce que Marguerite est belle,

Parce que Marguerite est vraie,

Parce que Marguerite est douce,

Parce que Marguerite m'aime,

Moi, je ne vis que pour elle.

Marguerite est ma raison,

Mon lendemain, mon idéal,

Marguerite qui est le vent,

Ne sait pas qu'elle peut me faire mal.

Parce que Marguerite est celle

Que je veux garder près de moi,

Marguerite est Marguerite,

Marguerite est tout pour moi.

Marguerite est tout pour moi...

J'ai mis mes passages préférés en rouge, même si j'aime déjà tout!

Que j'aimerai que ce soit mon prénom à la place de celui de Marguerite et que ce soit l'homme de mes rêves qui me chante cette si belle chanson!!!

Voilà, j'en aurais encore plein à mettre sur le blog, mais ces quelques chansons sufisent en elle même je crois pour prouver que Richard Cociante à le don de transmettre des émotions par de sublimes mélodies et des textes à faire rêver... Bien sur, sur son album, il y en a que j'aime moins que d'autre, mais j'aimerai vraiment qu'il refasse un album un jour...

Pour elle

Je ferai l'été en novembre,

J'la réchauferai pour pas qu'elle tremble,

J'inventerai les mots du silence,

j'lui f'rai du bleu sur des mots tendres,

J'apprendrai à vivre autrement

A sa façon et loin des gens,

J'irai chercher l'innaccessible,

L'infiniment sentimental...

Pour elle...

J'irai au plus profond des rêves,

Qu'elle fait lorsqu'elle est endormie,

Chercher ce que jamais ses lèvres

N'oseront dire de ses envies,

J'arracherai les habitudes

Et les moments qui font douter,

Pour détruire les incertitudes

Sans se parler...

Pour elle...

J'irai au bord de l'invisible

Où l'amour tient en équilibre,

Pour elle j'oublirai qui je suis,

J'écouterai tout c'que son coeur dit,

J'irai voler l'indispensable,

L'extrême sentiment d'aimer.

Je jetterai tout de mon passé

Pour faire de nous mon avenir,

Paut être simplement pour s'aimer

Peut être pour ne jamais mourir...

Pour elle...

J'arrêterai le temps qui passe

Pour que plus jamais on n'oublie

Les caresses qui souvent s'éffacent

Ou qui s'enfuient...

Pour elle...

En rouge c'est ce que je préfère!